mercredi 18 avril 2012

Tunisie-Environnement : Les Hammam-Lifois disent halte à la menace de pollution qui pèse sur leur plage !

        

  • Face à la grogne des Hammam-Lifois qui ont souffert lors de la première quinzaine du mois de juillet de la pollution inquiétante de leur plage, caractérisée par une puanteur sans pareil dégagée par la mer et qui a envahi toutes les artères de la ville, les autorités concernées sont intervenues énergiquement pour mettre un terme au calvaire des citoyens.
    Ainsi, durant les derniers jours du mois de juillet, un groupe de scientifiques d’un collège national présidé par Faiez Ayed gouverneur de Ben Arous a été vu à maintes reprises sur la corniche d’Hammam-Lif avec pour mission : évaluer la situation et essayer de trouver des solutions.
    De nombreux prélèvements d’eau de mer à différents endroits ont été effectués et les services del’APALl’ONAS ainsi que ceux de la municipalité se sont empressés de mettre en place toute la logistique idoine afin de fermer les embouchures qui déversent les eaux usées en pleine mer, ainsi que pour ramasser l’algue brune (SOUFA), responsable de la puanteur.
    Les constats étaient donc clairs. La puanteur était due à l’accumulation entre les digues trop proches les unes des autres et le littoral des algues brunes, ainsi qu’à la stagnation des eaux polluées déversées par les embouchures de l’ONAS…
    Malheureusement, le goût de la joie des Hammam-Lifois fut de courte durée puisque leur plage, qui avait retrouvé son éclat durant le mois d’août, a été de nouvelle victime d’une nouvelle vague de pollution.
    En effet, il a suffit que la première pluie d’automne fasse son apparition (le jeudi 9 septembre) pour que l’ONAS rouvre de nouveau les embouchures qui répandent les eaux pluviales et usées en peine mer (voir photos).
    Surpris par cette décision, les habitants ont déversé leur colère sur les responsables de l’ONAS et ont essayé d’intervenir pour protéger leur mer de ce nouveau crime contre l’environnement.  Et n’eut été l’intervention de responsables locaux et de la police, les choses auraient pu très mal se passer ce jour-là.
    Face à cette tournure très triste des événements, les Hammam-Lifois sont unanimes : Halte au massacre ! Des solutions radicales (et non des demi-mesures) s’imposent pour sauver la plage qui fut des plus convoitées des Tunisiens autrefois. Ces derniers lèvent un appel pour la démolition des digues et la fermeture de toutes les embouchures de l’ONAS qui déversent  les eaux pluviales et usées en pleine mer.
    Espérons que leurs doléances trouvent finalement entendeur pour sauver leur plage longtemps abandonnée à son sort si tragique ! 

Pollution urbaine, anarchie et synonyme de liberté sur Tunis


  • 5.00 / 5 5Dans plusieurs capitales dans le monde et pour l’occasion de cette fête de Aïd des décorations et des installations ont été mises en place pour célébrer ce jour important de la fin du mois du Ramadan. Sauf que sur Tunis au centre villemême et sur l’artère principale Avenue Habib Bourguiba nous avons eu un autre paysage.L’ouragan Irène est passé en Tunisie ?
Non, non et non, c’est pas l’ouragan Irène qui est passé par Tunis, mais c’est encore plus grave, c’est une mentalité d’une importante catégorie de la population qui est resté insensbile à son « savoir vivre » et à « ses devoirs » sachant qu’ils ne font que réclamer leurs droits depuis la révolution Tunisienne sans contre partie pour notre chère Tunisie.
Liberté Tunis centre ville crédit photo Moez Zarai Animateur
Liberté Tunis centre ville crédit photo Moez Zarai Animateur

La dure vie des vendeurs ambulants

C’est de leur droits de travailler, de pouvoir gagner de quoi nourrir leurs familles, mais c’est surtout de leurs DEVOIRS de respecter les lieux et les gens qui y habitent ou les fréquentent. La moindre des choses c’est de laisser la rue comme ils l’ont trouvé, ils ne pouvaient pas ramasser leurs déchets après la vente ??

Yezzi FOK

Tout comme vous en voyant ces photos j’ai eu une montée de rage, ça me révolte mais cette fois je ne viendrai pas pour un nettoyage, j’en ai ras le bol de voir la pollution en Tunisie partout et de ramasser les déchets des autres, il est temps que le gouvernement se bouge le cul et sanctionne ce genre d’agissements. Au moins si c’est pas pour nous ça sera pour la propreté des plages indonésiennes vers lesquelles on exporte également nos déchets

Tunisie : Pollution Alarmante dans la région de Sfax et de Kerkennah

Si vous avez visité Sfax ou Kerkennah pendant cet été, vous aurez sans doute remarqué que la région s’est transformée en une poubelle géante sans qu’aucun responsable ni autorité ne s’en préoccupe ! 

La ville de Sfax accueille l’un des premiers ports phosphatiers du 
monde, avec toutes les dégradations conséquentes sur l’environnement.

Comme toutes les autres anciennes médinas des pays arabo-musulmans, la 
ville avait, dans le temps, un certain équilibre écologique sur le plan 
urbain. Mais, malheureusement la poussée démographique galopante et 
l’installation d’industries diverses à l’intérieur de la ville, le développement des réseaux de communication (routes, voies ferrées, 
ports etc.), ont gravement perturbé cette équilibre.
C’est ainsi que 
les unités de traitement de phosphate (la NPK et la SIAPE) ont 
fortement contribué à la dégradation de l’environnement. La zone située au sud des ports, fait l’objet de rejets des eaux traitées par la station d’épuration de 
l’ONAS, et des rejets de la SIAPE, constitués de phosphagypse, 
reliquat de la fabrication des engrais et de l’acide phosphorique par 
utilisation des phosphates. Les deux usines de traitement de 
phosphate précitées, par le biais de leurs ateliers de production 
d’acide sulfurique, d’acide phosphorique et de superphosphate, 
entraînent une dégradation sensible de l’environnement.
Cela sans parler des 
tonnes d’ordures qui existent dans les rues de Sfax. Des ordures partout, et c’est horrible. Quand on s’assoit en face de la rue et on regarde, il n’y a que des ordures, des mouches et des odeurs répugnantes tout autour !
A 17km du littéral Sfaxien se situent les Îles Kerkennah, où 
ont peut remarquer le même spectacle honteux. Auparavant, les îles 
étaient connues pour être un endroit paradisiaque, et pour la bonne qualité du poisson qu’on y pêchait. Aujourd’hui, l’état de l’environnement des Îles 
est devenu désolant. Presque tout le littoral des Îles est pollué! Les déchets divers, des 
bouteilles en plastique, des canettes de bière, couches pour bébés, 
gravats , de pans entiers de béton, du carrelage…etc.
La municipalité 
n’est plus en mesure de gérer la quantité de déchets générés par les 
vacanciers qui affluent vers l’île par milliers. Il parait qu’il n’existe aucun plan municipal pour gérer les déchets autre que de les déverser dans les petites sebkhas de l’île. A Kerkennah, les plages ainsi que les sebkhas sont parties en ruines… les habitants se 
plaignent constamment à la municipalité que leurs rues sont sales et 
que leurs poubelles pourries attendent d’être vidées. La municipalité est au banc des absents.
Atrocement enlaidie par la pollution, cette île qu’on comparait à un paradis auparavant, est entrain de se détruire inexorablement à cause des pollueurs irresponsables et de l’absence d’action des autorités. La croissance économique de cette région du pays est faite au détriment de l’environnement et la qualité de la vie. L’environnement vital des gens est devenu malsain et répugnant. Les taux de cancer sont alarmants. La visite de cette région pendant l’été 2010 attriste les visiteurs et les persuadent de ne plus jamais y 
remettre les pieds.
par Slim Fgaier extrait de "nawat.org"

Pollution en Tunisie

Aprés les élections 2011, la Goulette - une municipalité capitale d'histoire, de loisirs et de culture tunisienne reste polluée de facon inacceptable.





samedi 14 avril 2012

Film Réchauffement de la planète


Film d'alerte sur l'avenir de la planète terre


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